La chercheure constate que les représentations du meilleur intérêt de l’enfant varient d’un répondant à l’autre. Elle remarque que les débats sur cette notion tournent autour de trois principes: la continuité dans la vie de l’enfant (continuité des liens avec les deux parents ou la continuité de ses habitudes de vie), la protection et l’autonomie.

Pour la majorité des répondants, c’est le principe de la continuité du lien entre les deux parents qui est privilégié. Par ailleurs, les discours des répondants ne semblaient pas influencés par le genre, la catégorie professionnelle, ni le niveau d’expérience des répondants, à l’exception des prises de position sur la stabilité de l’enfant et sur le poids à accorder aux préférences des adolescents, débats sur lesquels il existe des différences entre les juges et les experts.

Vous trouverez ci-bas la présentation Powerpoint de la chercheure ainsi que divers autres publications basées sur ses résultats.